Des étudiantes, de passage à Marseille, racontent leur jeunesse bousculée par la guerre.
Les milliers de kilomètres qui les séparent de leur foyer n’y font rien. Cela fait deux mois qu’elles sont en stage à Marseille, mais il ne se passe pas une heure sans qu’elles consultent les réseaux sociaux en quête de nouvelles d’Arménie, d’Erevan et de la frontière, en Artsakh (Haut-Karabakh en arménien) où un blocus paralyse depuis deux mois la zone meurtrie par la guerre (lire ci-dessous).